27 juin 2003

SPIP pour l'Education

SPIP-Edu, utilisation du CMS (Content Management System) français SPIP dans l'Education Nationale. Initiative du la cellule TICE de Haute-Savoie.

A voir notamment : EVA, un squelette SPIP spécialement étudié pour les intranets scolaires.

>> SPIP-Edu

26 juin 2003

Le CSS est fantastique

Magnifique. Cliquez sur un « design » dans le menu et toute la page Zen Garden se transforme.

Promis, juré : seule la feuille de styles est différente d'une page à l'autre. C'est impressionnant !

>> Jardin Zen CSS

Pour les standards du Web

Initiative francophone, le groupe OpenWeb a pour but de démontrer l'utilisabilité et le bien fondé des normes définies par le World Wide Web Consortium (W3C).

Articles récents :

  • Métadonnées et Dublin Core

  • Introduction à l'accessibilité

  • Pour en finir avec les cadres

  • etc.

Pour les utilisateurs de Mozilla et équivalents, notez que vous pouvez changer de feuille de styles à partir du menu « Affichage ».

>> Openweb.eu.org

Le mystère de la chambre jaune

Vu avant-hier soir dans le cadre de la fête du cinéma. Film policier de Bruno Podalydès, d'après l'œuvre de Gaston Leroux. Avec Denis Podalydès (Rouletabille), Pierre Arditi (l'inspecteur Larsan), Claude Rich (le juge De Marquet), Jean-Noël Brouté (Sainclair), Sabine Azéma (Mathilde Stangerson), Olivier Gourmet (Robert Darzac), Michael Lonsdale (le professeur Stangerson).

Synopsis : « Le jeune reporter Joseph Rouletabille, accompagné de son ami et photographe Sainclair, se lance aux trousses du meurtrier qui a tenté d'assassiner Mathilde, la fille du célèbre professeur Stangerson. Il se rend au château du Glandier pour mener l'enquête.

Qui est donc l'agresseur ? Quel est son mobile ? Et surtout comment a-t-il pu s'échapper de la Chambre Jaune qui était fermée de l'intérieur ? »

Séance vraiment très plaisante. L'ensemble du film bénéficie d'un cachet légèrement désuet tout à fait en adéquation avec l'histoire. Par moment, on a l'impression de lire une bande dessinée de Hergé, tant la qualité graphique des personnages a été travaillée.

24 juin 2003

Matrix reloaded

Vu cet après-midi dans le cadre de la fête du cinéma. Film d'action d'Andy Wachowski et Larry Wachowski. Avec Keanu Reeves (Thomas A. Anderson/Neo), Laurence Fishburne (Morpheus), Carrie-Anne Moss (Trinity), Hugo Weaving (L'agent Smith « mis à jour » 2.0), Lambert Wilson (Le Mérovingien), Harold Perrineau Jr. (Link).

Le film finit par ces deux mots, écrits en vert au centre de l'écran : « à suivre »... Tout est dit : suite, suite, suite !

Les scènes de combat sont nombreuses et formidablement bien tournées, c'est un fait. Les scènes servant à essayer d'expliquer ce qui se passe sont longues et verbeuses (on se surprend à bailler avec délectation), c'en est un autre.

Mais bon, ça marche... J'irai peut-être voir la suite pour savoir ce qui attend nos héros.

22 juin 2003

Mais qui a tué Pamela Rose ?

Vu cet après-midi dans le cadre de la fête du cinéma.Comédie policière d'Eric Lartigau. Avec Kad et Olivier (Bullit et Riper), Gérard Darmon (Phil Canon), Jean-Paul Rouve (le shérif Marley), Bénédicte Loyen (Ginger).

Synopsis : « Agents du FBI, Bullit et Riper enquêtent sur le meurtre de la jeune strip-teaseuse Pamela Rose, retrouvée assassinée dans une chambre d'hôtel à Bornsville, une petite ville américaine sans histoires. Tout les oppose et pourtant ils doivent faire équipe : Bullit est un homme de terrain aux méthodes peu banales, tandis que Riper est un instructeur consciencieux, prêt à assurer sa première enquête.

Confrontés à une police locale plutôt hostile, ces deux agents maladroits et déjantés vont devoir arrêter le ou les meurtriers. Au fil de leurs recherches, Bullit et Riper font la connaissance de Ginger, la meilleure amie de Pamela Rose. Ils s'aperçoivent rapidement qu'elle en sait plus que ce qu'elle veut en dire... »

Si on aime l'humour non-sense et les clins d'œil à la caméra, on aimera ce film. Sinon, c'est moins sûr...

J'ai aimé les gags, ma voisine non.

Comment se faire larguer en 10 leçons

Vu cet après-midi dans le cadre de la fête du cinéma.Comédie romantique de Donald Petrie. Avec Kate Hudson (Andie Anderson), Matthew McConaughey (Benjamin Barry), Kathryn Hahn (Michelle).

Synopsis : « Andie Anderson, une belle et talentueuse journaliste, est chargée par sa rédactrice en chef de livrer un compte-rendu personnel et documenté sur tout ce qui peut faire échouer une histoire d'amour. Andie dispose de dix jours pour faire la conquête d'un mâle, puis accumuler toutes les gaffes possibles qui le feront fuir dare-dare...

La journaliste jette alors son dévolu sur le fringant Benjamin Barry, un des publicitaires les plus en vue de l'agence Warren... sans se douter que celui-ci a fait le pari inverse : séduire Andie et la rendre, en dix jours, follement amoureuse de lui... »

Gentille bluette à la fin hautement prévisible, ce film mérite d'être vu pour au moins deux scènes : celle de la soirée « entre garçons » et celle de la rencontre avec la famille de Benjamin (pour la justesse du jeu de l'ensemble des acteurs à ce moment-là).

Hilarant par moment, divertissant pour le moins. Certains spectateurs s'amuseront de reconnaître tel ou tel travers de leur couple ou d'un couple ami.

Filles uniques

Vu ce matin dans le cadre de la fête du cinéma. Comédie de Pierre Jolivet. Avec Sandrine Kiberlain (Carole), Sylvie Testud (Tina), Vincent Lindon (Bruno).

Synopsis : « Carole, juge d'instruction, est un peu rigide, elle partage sa vie entre le palais de justice et son mari Bruno. Tina, voleuse récidiviste ayant déja fait deux mois de prison, n'est pas rigide du tout et se passionne pour les chaussures. Ces deux femmes vont se rencontrer au palais de justice et ne plus se quitter. Peut être parce qu'elles sont toutes deux filles uniques et que chacune pourrait être la soeur que l'autre aurait aimé avoir. »

Mon histoire d'amour (platonique) avec Sylvie Testud date d'il y a longtemps, lorsque, par hasard, je la découvrais sur la chaîne Arte dans une production Franco-Allemande. Elle y jouait la fille musicienne d'un couple de sourds-muets. Sa fraîcheur et sa sincérité m'ont frappé. Et puis il y a eu Carnaval et les autre films.

Sandrine Kiberlain et Sylvie Testud sont formidables de justesse. J'ai été frappé par les regards qui s'échangent et disent tout l'amour fraternel qui grandit entre les deux femmes. Pas besoin de dialogues !

Drôle, émouvant, trop court...

Étrange Banane pour Webdesign original

Ce logiciel en ligne permet, à chaque raffraîchissement, de produire une feuille de style CSS différente permettant de définir les éléments d'un site web suivants :

  • zone de logo ;

  • « chemin de fer » (position dans le site) ;

  • menu ;

  • contenu.
À utiliser pour avoir des idées de couleur, des idées de mise en forme, etc. Surtout, cela montre comment le webdesign devrait être aujourd'hui : avec des balises <DIV>, pas des balises <TABLE> !

>> Le générateur Strange Banana

17 juin 2003

Le BaRBeRy v 1.0

Dico mégalo CoRHuPOP (Cognitivo-Rapo-Humoristico-Poético-Oulipo-Psychanalytique)
La barberysation, antidote à la barbarie ? Lacan, Mc Solar et des éléphants roses se cachent dans le placard...

>> Barberysez, il en restera toujours quelque chose

15 juin 2003

Outils gratuits pour réseaux locaux

Vus à l'occasion de l'épreuve pratique du BTS informatique de gestion 2003.

Microsoft Baseline Security Analyzer est un outil gratuit, téléchargeable sur le site de Microsoft, qui permet d'analyser un certain nombre de points souvent à l'origine de problèmes de sécurité sur les systèmes Windows (hotfixes ou service packs manquants, mots de passe trop simples, etc.).

Son lancement peut être centralisé et effectué vers une plage d'adresses IP. Les fichiers de données sont au format XML. Le tout est en Anglais, hélas.

OCS Inventory est un outil libre qui permet de centraliser dans une base de données au format Access 97 (ou dans des fichiers CSV) les caractéristiques matérielles et logicielles des machines composant un parc informatique.

Le logiciel fonctionne sous Windows et est multilingue (dont le Français). Il permet aussi de gérer les licences logicielles.

Deux outils à tester.

Pas cool !

(Suite de « J'ai eu chaud ! », plus bas).

Finalement, le ventilateur n'a permis qu'un sursis de quelques jours. Une de mes deux barrettes de RAM a fini par céder.

Probablement fragilisée par le coup de chaud qu'elle avait subi précédemment, elle a fini par décider de ne plus se rendre disponible du tout. Dommage, mais j'ai gagné un ventilateur de table tout neuf qui me gèle les pieds.

Entre l'achat du ventilateur, l'achat d'une nouvelle barette de mémoire vive et les frais de médecin (pour les rhumes que je vais attraper avec cet air froid mécanico-pulsé sur mes chevilles)... Ma comptabilité va en prendre un coup.

Le Bison (et sa voisine Dorine)

Vu il y a une semaine. Comédie d'Isabelle Nanty. Avec Isabelle Nanty (Dorine Roméro), Edouard Baer (Louis Le Bison), Pierre-Martin François Laval, dit PEF (Joël Roméro).

Louis Le Bison vit la nuit, a une jolie petite amie et vient de déménager. Il s'en fiche de tout et gare sa voiture n'importe où, par exemple à l'endroit où sa nouvelle concierge sort les poubelles avant le ramassage. Elle s'appelle Dorine, sa concierge, et elle a un mari plutôt insignifiant qui lui a fait quatre enfants (enfin cinq si on compte celui qui déforme terriblement le ventre de Dorine).

Quand son mari part avec la petite amie du Bison, Dorine est désespérée. Louis Le Bison devra, bon gré, mal gré, lui venir en aide.

Cette comédie est entraînante. Les situations sont tordantes et les acteurs (y compris les seconds rôles) sont de vraies natures. Les quatre enfants sont adorables et très attachants. À l'instar de Louis Le Bison, on ne peut pas résister à leur charme.

En sortant de la salle, on a envie d'y retourner, juste pour rester encore un peu plus longtemps avec cette bande de fous...

03 juin 2003

J'ai eu chaud !

Hier et avant-hier, mon PC a eu un comportement qui m'a beaucoup peiné.

En effet, sans prévenir, il lui arrivait de redémarrer en plein milieu de mon travail. Ce n'était pas des microcoupures d'électricité. J'en suis certain, car j'ai (enfin) intercalé un onduleur entre mon installation électrique et le micro-ordinateur.

Après ces réamorçages intempestifs, le PC bloquait très vite sur un bel écran bleu "Kernel trap error" et signes hexadécimaux cabalistiques en prime.

Si j'attendais un peu, il finissait par redémarrer... Pour retomber en panne de la même façon quelques temps plus tard.

Le climat de Strasbourg étant celui qu'il est (belle phrase creuse), j'ai compris que le problème était lié à la chaleur étouffante de mon bureau. Je viens donc d'offrir à ma grande tour un ventilateur de table à 14 € et des poussières ! (Que ne ferais-je pas pour lui ?)

Et ça marche ! La température mesurée dans le boîtier (qui est donc ouvert, maintenant) est de 26°C (contre 33°C auparavant, boîtier ouvert et même plus avec le boîtier fermé). Du coup, le processeur a lui aussi « gagné » quelques degrés. Il plafonne maintenant à 46°C, contre 49°C auparavant.

C'est beau la technologie moderne !