Il est minuit treize. J'ai commencé à lire mes courriels (et à y répondre) à dix-neuf heures quarante-et-quelques. Deux cent deux messages à lire (plus quelques uns qui se sont rajoutés en cours de session)... Je n'en peux plus !
Oui aux moyens de communication modernes ; non à l'esclavagisme de l'homme par la machine !
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