Vu hier soir en avant-première et en VOST. Comédie de Nigel Cole. Avec Helen Mirren (Chris), Julie Walters (Annie), John Alderton (John), Linda Bassett (Cora), Annette Crosbie (Jessie), Ciaran Hinds (Rod), Celia Imrie (Celia), Geraldine James (Marie), Penelope Wilton (Ruth), Philip Glenister (Lawrence).
Enfin ! Oh bon sang ! Enfin... Je suis tellement heureux de pouvoir dire de nouveau d'un film autre chose que de recopier son synopsis officiel. Je suis réconcilié avec mon cinéma.
C'est l'histoire vraie de ce club féminin victorien (le Knapely and district Women's Institute) dont quelques membres ont décidé de poser nues afin de rapporter quelques pennies à l'hôpital local. Le film raconte la vie quotidienne au cœur de la campagne anglaise (Agatha Christie n'est pas loin) ; les réunions « passionnantes » du W.I. (la conférence sur les brocolis est un must) ; la leucémie fatale de John, le mari d'Annie ; l'idée de Chris pour collecter des fonds à la mémoire de John ; la création et la réalisation hautes et en couleurs du calendrier ; le succès inattendu ; les effets pervers du succès ; l'espoir redonné à d'innombrables anonymes et une belle histoire d'amitié par dessus le marché.
Toute la salle a ri. C'est un signe qui ne trompe pas. Les acteurs sont tous excellents et on se réjouit de voir sur une même affiche autant de visage connus (pour ceux qui aiment les films et séries britanniques, un petit jeu : se rappeler des séries dans lesquelles les différentes dames du W.I. sont apparues).
Il faut le voir en VO, je crois, pour profiter pleinement de l'ambiance toute particulière. (De plus, certains accents sont savoureux).
>> Voir les anecdotes du film Calendar Girl sur AlloCiné pour quelques informations supplémentaires.
Tout et n'importe quoi (surtout n'importe quoi). Mises à jour : tous les 5 ou 6 ans... Peut-être.
30 décembre 2003
28 décembre 2003
Scary Movie 3
Vu hier soir. Comédie parodique de David Zucker. Avec Anna Faris (Cindy Cambell), Charlie Sheen (Tom), Denise Richards (Annie, la femme de Tom), Leslie Nielsen (le président Harris).
En remplaçant les frères Wayans par le célèbre réalisateur David Zucker (du trio ZAZ), on pouvait parier sur une amélioration du niveau de la série « scary movie ».
Mais non.
Bien sûr, il est amusant d'essayer de reconnaître les films parodiés (encore faut-il les avoir vus, bien sûr), mais pourquoi ne pas être plus léger ? Pour être sûr que le spectateur se dise « tiens, là, il doit y avoir une parodie, vue la façon dont le réalisateur s'y attarde lourdement... » ?
On appréciera tout de même les prestations de Charlie Sheen et (surtout) de Leslie Nielsen. Ce dernier prononce à un moment la célèbre phrase : « nous sommes avec vous ». Auto-hommage de Zucker à son premier grand succès.
En remplaçant les frères Wayans par le célèbre réalisateur David Zucker (du trio ZAZ), on pouvait parier sur une amélioration du niveau de la série « scary movie ».
Mais non.
Bien sûr, il est amusant d'essayer de reconnaître les films parodiés (encore faut-il les avoir vus, bien sûr), mais pourquoi ne pas être plus léger ? Pour être sûr que le spectateur se dise « tiens, là, il doit y avoir une parodie, vue la façon dont le réalisateur s'y attarde lourdement... » ?
On appréciera tout de même les prestations de Charlie Sheen et (surtout) de Leslie Nielsen. Ce dernier prononce à un moment la célèbre phrase : « nous sommes avec vous ». Auto-hommage de Zucker à son premier grand succès.
15 décembre 2003
Les sentiments
Vu ce matin. Comédie romantique et dramatique de Noémie Lvovsky. Avec Jean-Pierre Bacri (Jacques), Nathalie Baye (Carole), Isabelle Carré (Edith), Melvil Poupaud (François).
Synopsis officiel :
« Jacques, médecin, et Carole, son épouse, habitent une maison en région parisienne. Dans la maison voisine s'installent François et Edith. Ce dernier doit succéder à Jacques et reprendre sa clientèle.
Jacques passe beaucoup de temps avec François pour lui transmettre sa succession. Carole et Edith, pendant ce temps, deviennent amies.
Très vite, Jacques tombe amoureux d'Edith. Elle est tout d'abord émue par le trouble qu'elle provoque chez lui. Puis elle se met à l'aimer. Mais elle ne voit pas qu'elle est également "amoureuse d'elle-même en train d'aimer". Elle ne voit pas non plus qu'ils courent vers la violence des sentiments... »
Une histoire d'adultère, belle parce que tellement banale.
La réalisatrice a introduit un « cinquième personnage » : une chorale qui ponctue le film par des chansons mal écrites (et mal chantées) qui sont censées nous faire comprendre ce que seul un imbécile ne comprendrait pas : le point de vue intérieur des protagonistes. (On l'aura compris, je n'ai pas saisi l'intérêt réel de cette chorale, que Noémie Lvovsky me pardonne).
Malgré cette réserve, j'ai beaucoup aimé le film. Sans pouvoir expliquer vraiment pourquoi, je l'ai trouvé très poétique.
Synopsis officiel :
« Jacques, médecin, et Carole, son épouse, habitent une maison en région parisienne. Dans la maison voisine s'installent François et Edith. Ce dernier doit succéder à Jacques et reprendre sa clientèle.
Jacques passe beaucoup de temps avec François pour lui transmettre sa succession. Carole et Edith, pendant ce temps, deviennent amies.
Très vite, Jacques tombe amoureux d'Edith. Elle est tout d'abord émue par le trouble qu'elle provoque chez lui. Puis elle se met à l'aimer. Mais elle ne voit pas qu'elle est également "amoureuse d'elle-même en train d'aimer". Elle ne voit pas non plus qu'ils courent vers la violence des sentiments... »
Une histoire d'adultère, belle parce que tellement banale.
La réalisatrice a introduit un « cinquième personnage » : une chorale qui ponctue le film par des chansons mal écrites (et mal chantées) qui sont censées nous faire comprendre ce que seul un imbécile ne comprendrait pas : le point de vue intérieur des protagonistes. (On l'aura compris, je n'ai pas saisi l'intérêt réel de cette chorale, que Noémie Lvovsky me pardonne).
Malgré cette réserve, j'ai beaucoup aimé le film. Sans pouvoir expliquer vraiment pourquoi, je l'ai trouvé très poétique.
05 décembre 2003
Love Actually
Vu ce soir. Comédie romantique de Richard Curtis. Avec Hugh Grant (le Premier Ministre), Liam Neeson (Daniel), Colin Firth (Jamie), Laura Linney (Sarah), Emma Thompson (Karen), Alan Rickman (Harry), Martine McCutcheon (Natalie), Bill Nighy (Billy Mack), Rowan Atkinson (Rufus), Andrew Lincoln (Mark), Billy Bob Thornton (le Président des Etats-Unis), Joanna Page (Judy), Kris Marshall (Colin), Lucia Moniz (Aurelia), Martin Freeman (John), Thomas Sangster (Sam), Denise Richards (Carla), Claudia Schiffer (Carol), Keira Knightley (Juliet).
Synopsis officiel :
« L'amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts...
Pour le nouveau Premier Ministre britannique, il va prendre la jolie forme d'une jeune collaboratrice.
Pour l'écrivain au coeur brisé parti se réfugier dans le sud de la France, il surgira d'un lac.
Il s'éloigne de cette femme qui, installée dans une vie de couple ronronnante, suspecte soudain son mari de songer à une autre.
Il se cache derrière les faux-semblants de ce meilleur ami qui aurait bien voulu être autre chose que le témoin du mariage de celle qu'il aime.
Pour ce veuf et son beau-fils, pour cette jeune femme qui adore son collègue, l'amour est l'enjeu, le but, mais également la source d'innombrables complications.
En cette veille de Noël à Londres, ces vies et ces amours vont se croiser, se frôler et se confronter... »
Drôle, bien mené. Un bon moment.
Synopsis officiel :
« L'amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts...
Pour le nouveau Premier Ministre britannique, il va prendre la jolie forme d'une jeune collaboratrice.
Pour l'écrivain au coeur brisé parti se réfugier dans le sud de la France, il surgira d'un lac.
Il s'éloigne de cette femme qui, installée dans une vie de couple ronronnante, suspecte soudain son mari de songer à une autre.
Il se cache derrière les faux-semblants de ce meilleur ami qui aurait bien voulu être autre chose que le témoin du mariage de celle qu'il aime.
Pour ce veuf et son beau-fils, pour cette jeune femme qui adore son collègue, l'amour est l'enjeu, le but, mais également la source d'innombrables complications.
En cette veille de Noël à Londres, ces vies et ces amours vont se croiser, se frôler et se confronter... »
Drôle, bien mené. Un bon moment.
01 décembre 2003
Qu'ils sont miiiiiiiignons ! (re-post)
J'avais effacé ce message suite à la fermeture du site original. Les revoici !
Un cauchemar pour les connexions bas-débit et pour ceux qui n'aiment pas les chats : un peu moins de 200 photos de chatons.
>> Kittens
Un cauchemar pour les connexions bas-débit et pour ceux qui n'aiment pas les chats : un peu moins de 200 photos de chatons.
>> Kittens
26 novembre 2003
Au secours !
Il est minuit treize. J'ai commencé à lire mes courriels (et à y répondre) à dix-neuf heures quarante-et-quelques. Deux cent deux messages à lire (plus quelques uns qui se sont rajoutés en cours de session)... Je n'en peux plus !
Oui aux moyens de communication modernes ; non à l'esclavagisme de l'homme par la machine !
Oui aux moyens de communication modernes ; non à l'esclavagisme de l'homme par la machine !
24 novembre 2003
Elephant
Vu ce soir avec un autre objecteur de conscience. Drame de Gus Van Sant. Avec Alex Frost (Alex), John Robinson (John), Elias McConnell (Elias), Eric Deulen (Eric), Jordan Taylor (Jordan), Carrie Finklea (Carrie), Nicole George (Nicole), Brittany Mountain (Brittany), Alicia Miles (Acadia), Kristen Hicks (Michelle), Bennie Dixon (Benny), Nathan Tyson (Nathan), Timothy Bottoms (Mr. McFarland, le père de John), Matt Malloy (Mr. Luce, le proviseur).
L'histoire, tout le monde la connaît avant d'aller voir le film : deux adolescents font un carnage avec des armes à feu dans leur lycée, à Portland.
Tout l'art de Gus Van Sant réside en deux principes forts :
Les astuces techniques que j'ai notées : variation de la profondeur de champ (lors des déplacements, elle est particulièrement courte ce qui donne une ambiance très particulière), ralentis et retours vitesse normale progressifs, caméras suiveuses (plans américains de dos, steadycam ?), champs/contre-champs à retardement (le contre-champ pouvant arriver plusieurs séquences après le champ), chamboulement de la chronologie (quelques plans aident à s'y retrouver, mais on ne comprend vraiment quand se sont passés certains événements que vers la fin du film).
La construction du film est exemplaire. Au début, on croit que le film est lent et on découvre ensuite (bien plus tard) que Gus Van Sant nous montre des événements simultanés. A chaque fois qu'on croit pouvoir s'ennuyer, on découvre une nouvelle astuce de montage... Et on ne s'ennuie donc jamais.
La construction du film nous met sur de fausses pistes. On se dit « voilà un des tueurs. Avec sa vie, je comprends qu'il ait fini ainsi ». Et bien sûr on se trompe (ce qui, d'ailleurs, donne quelques bonnes claques aux partisans trop enthousiastes du déterminisme social). De la même manière, une fois qu'on connaît l'identité des deux tueurs, on croit à chaque séquence « ça y est, ils vont commencer le carnage », mais non : un autre flashback remplace l'événement qu'on appréhende (d'autant plus qu'à chaque flashback, notre compréhension de l'espace-temps se faisant plus précis, on reconnaît les situations prémices du drame).
Le film a été palme d'or et prix de la réalisation au festival de Cannes 2003. Cela prouve que le jury de Cannes ne peut pas toujours se tromper. Il a aussi obtenu le prix de l'Éducation Nationale (???).
Magnifique.
>> site officiel du film elephant
L'histoire, tout le monde la connaît avant d'aller voir le film : deux adolescents font un carnage avec des armes à feu dans leur lycée, à Portland.
Tout l'art de Gus Van Sant réside en deux principes forts :
- ne pas prendre position (ne pas juger ou essayer d'expliquer les motivations des protagonistes) ;
- faire monter le suspense par une construction scénaristique et visuelle totalement maîtrisée.
Les astuces techniques que j'ai notées : variation de la profondeur de champ (lors des déplacements, elle est particulièrement courte ce qui donne une ambiance très particulière), ralentis et retours vitesse normale progressifs, caméras suiveuses (plans américains de dos, steadycam ?), champs/contre-champs à retardement (le contre-champ pouvant arriver plusieurs séquences après le champ), chamboulement de la chronologie (quelques plans aident à s'y retrouver, mais on ne comprend vraiment quand se sont passés certains événements que vers la fin du film).
La construction du film est exemplaire. Au début, on croit que le film est lent et on découvre ensuite (bien plus tard) que Gus Van Sant nous montre des événements simultanés. A chaque fois qu'on croit pouvoir s'ennuyer, on découvre une nouvelle astuce de montage... Et on ne s'ennuie donc jamais.
La construction du film nous met sur de fausses pistes. On se dit « voilà un des tueurs. Avec sa vie, je comprends qu'il ait fini ainsi ». Et bien sûr on se trompe (ce qui, d'ailleurs, donne quelques bonnes claques aux partisans trop enthousiastes du déterminisme social). De la même manière, une fois qu'on connaît l'identité des deux tueurs, on croit à chaque séquence « ça y est, ils vont commencer le carnage », mais non : un autre flashback remplace l'événement qu'on appréhende (d'autant plus qu'à chaque flashback, notre compréhension de l'espace-temps se faisant plus précis, on reconnaît les situations prémices du drame).
Le film a été palme d'or et prix de la réalisation au festival de Cannes 2003. Cela prouve que le jury de Cannes ne peut pas toujours se tromper. Il a aussi obtenu le prix de l'Éducation Nationale (???).
Magnifique.
>> site officiel du film elephant
Good bye Lenin !
Vu ce matin en VOST. Comédie dramatique de Wolfgang Becker. Avec Daniel Brühl (Alex, le fils), Katrin Sass (La mère), Chulpan Khamatova (Lara, l'infirmière russe petite amie d'Alex), Maria Simon (Ariane, la fille), Florian Lukas (Denis, le collègue vidéaste d'Alex), Alexander Beyer (Rainer, le nouveau petit copain d'Ariane), Burghart Klaussner (Le père). Musique de Yann Tiersen.
En 1989, quand elle est tombée dans un coma consécutif à un infarctus, la maman d'Alex était une bonne camarade. Malgré l'abandon de son mari, parti à l'Ouest, elle a su s'occuper comme il fallait de ses deux enfants et de ses camarades colocataires de Berlin Est. Quelques jours après l'accident, le mur tombait et le capitalisme s'emparait de l'Allemagne fraîchement réunifiée.
Huit mois plus tard, quand la maman se réveille, le médecin est formel : un autre choc lui serait fatal. Alors, Alex décide de reconstituer l'Allemagne d'avant, juste pour elle. Il va devoir convaincre ses voisins et ses amis, surmonter les problèmes liés à la fermeture des usines et des fermes d'état, inventer des journaux télévisés qui justifient l'arrivée de Coca Cola dans l'immeuble d'en face et cela tout en essayant de vivre son premier amour et en gérant tant bien que mal la découverte par sa sœur Ariane de la présence de leur père quelque part, pas très loin.
Autant le visionnage de Matrix ne m'a pas donné envie d'en dire long (voir plus bas), autant Good bye Lenin! mérite notre attention. Dans quel autre film peut-on rencontrer...
Ce film m'a transporté d'émotions. La façon dont le réalisateur construit son film autour d'un amour filial (histoire privée) et de la chute du Mur (histoire collective) est exemplaire. On ne peut que s'associer à Alex et on galère avec lui lorsqu'il doit inventer des situations de plus en plus anachroniques pour « raccrocher les wagons » de sa mère à ceux des Berlinois de la nouvelle Allemagne.
En 1989, quand elle est tombée dans un coma consécutif à un infarctus, la maman d'Alex était une bonne camarade. Malgré l'abandon de son mari, parti à l'Ouest, elle a su s'occuper comme il fallait de ses deux enfants et de ses camarades colocataires de Berlin Est. Quelques jours après l'accident, le mur tombait et le capitalisme s'emparait de l'Allemagne fraîchement réunifiée.
Huit mois plus tard, quand la maman se réveille, le médecin est formel : un autre choc lui serait fatal. Alors, Alex décide de reconstituer l'Allemagne d'avant, juste pour elle. Il va devoir convaincre ses voisins et ses amis, surmonter les problèmes liés à la fermeture des usines et des fermes d'état, inventer des journaux télévisés qui justifient l'arrivée de Coca Cola dans l'immeuble d'en face et cela tout en essayant de vivre son premier amour et en gérant tant bien que mal la découverte par sa sœur Ariane de la présence de leur père quelque part, pas très loin.
Autant le visionnage de Matrix ne m'a pas donné envie d'en dire long (voir plus bas), autant Good bye Lenin! mérite notre attention. Dans quel autre film peut-on rencontrer...
- un ancien cosmonaute, héros de la RDA, reconverti en chauffeur de taxi (et accessoirement en remplaçant improbable d'Erich Honecker) ;
- une jeune berlinoise élevée en communiste et reconvertie en vendeuse de Burger Kings, formatée de la tenue jusqu'aux paroles ;
- un jeune homme capable d'aimer sa mère à un tel point ;
- un jeune vendeur/installateur d'antennes satellite, vidéaste à ses heures, dévoué et désintéressé comme personne (ce personnage gagne ma palme de l'ami providentiel) ;
- et des enfants qui, pour vingt Marks, s'habillent en pionniers et chantent les hymnes au travail que la maman d'Alex enseignait quand elle n'était pas encore malade ?
Ce film m'a transporté d'émotions. La façon dont le réalisateur construit son film autour d'un amour filial (histoire privée) et de la chute du Mur (histoire collective) est exemplaire. On ne peut que s'associer à Alex et on galère avec lui lorsqu'il doit inventer des situations de plus en plus anachroniques pour « raccrocher les wagons » de sa mère à ceux des Berlinois de la nouvelle Allemagne.
22 novembre 2003
Un appareil photo en papier
Impressionnant, ce que les magazines tchecoslovaques proposaient à leurs lecteurs !
Ce passionné anglophone d'appareils photo du type camera obscura (chambre noire) nous propose sur son site une expérimentation de la « chose » et... Ça fonctionne !
Quelle nouveauté par rapport aux chambres noires que nous fabriquons avec mon ami Nicolas lors des stages photo/vidéo que nous encadrons ? On peut y charger un film 35 mm. !
>> Dirkon - The Paper Camera
(Lien signalé par la lettre d'information de b3ta.com).
Ce passionné anglophone d'appareils photo du type camera obscura (chambre noire) nous propose sur son site une expérimentation de la « chose » et... Ça fonctionne !
Quelle nouveauté par rapport aux chambres noires que nous fabriquons avec mon ami Nicolas lors des stages photo/vidéo que nous encadrons ? On peut y charger un film 35 mm. !
>> Dirkon - The Paper Camera
(Lien signalé par la lettre d'information de b3ta.com).
19 novembre 2003
Matrix revolutions
Vu cet après-midi. Film d'action et de science fiction de Larry et Andy Wachowski. Avec Keanu Reeves (Thomas A. Anderson/Neo), Laurence Fishburne (Morpheus), Carrie-Anne Moss (Trinity), Hugo Weaving (L'agent Smith), Jada Pinkett Smith [Jada Pinkett] (Niobe), Harold Perrineau Jr. (Link), Nona Gaye (Zee).
Tourné en même temps que le deuxième épisode, Matrix revolutions se passe essentiellement dans le monde des machines et à Zion. Excellent travail sur les images de synthèse.
Bon. J'avais vu les deux premiers. Il fallait bien que j'aille voir le troisième et dernier. Que dire de plus ?...
Tourné en même temps que le deuxième épisode, Matrix revolutions se passe essentiellement dans le monde des machines et à Zion. Excellent travail sur les images de synthèse.
Bon. J'avais vu les deux premiers. Il fallait bien que j'aille voir le troisième et dernier. Que dire de plus ?...
Inscription à :
Articles (Atom)